Depuis quelques temps, une publicité géante est affichée sur l'hôtel de ville de Wavre. Sur celle-ci, un slogan : 'Ville à vendre'. L'affiche a fait parler d'elle et n'a pas été appréciée par tout le monde. Pourtant, il n'y avait pas de lien direct avec le futur centre commercial, mais plutôt avec le Monopoly Spécial Wavre qui vient d'être édité.
30 lieux représentatifs
Après avoir lancé les dés et déplacé votre pion, vous pourrez acheter le Parc de la Source, l'hôtel de ville, l'école des beaux-arts ou encore la gare de Basse-Wavre ou le Cubitus de Limal. Si la Place Alphonse Bosch est la propriété la plus accessible financièrement dans cette version, et le parc économique sud la plus chère, il s'agit là d'un choix arbitraire de l'éditeur du jeu. "Il était important pour nous que les différents points de la ville comme Wavre, Basse-Wavre, Limal et Bierges, soient représentés par des lieux emblématiques et nous y avons finement veillé. Mais le Collège n'a eu aucune volonté d'émettre un jugement quelconque, nous avons uniquement veillé à cette répartition sur notre territoire et au fait que les différentes thématiques soient représentées, comme le sport, la culture, etc", détaille la bourgmestre f.f. Françoise Pigeolet.
30 euros en prévente
Les règles habituelles du Monopoly sont d'application dans cette version. Les cartes chance et caisse de communauté sont présentes, mais adaptées à Wavre. Vous pourrez, par exemple, gagner le gros lot à la brocante de Limal ! 1000 exemplaires du jeu sont disponibles, mais près de 600 ont déjà été réservés. Jusqu'au 25 mars, il vous en coûtera 30 euros. Ensuite, le jeu sera vendu à 40, et les Wavriens ont reçu un bon de réduction de 2 euros dans leur boîte aux lettres. Tous les achats se font au Syndicat d'Initiatives. Si vous souhaitez tester avant d'acheter, la Ville de Wavre organise une séance jeu le dimanche 25 mars, de 14h30 à 18h30, à l'hôtel de ville. Attention, il est nécessaire de s'inscrire pour cette activité qui se déroulera par équipes (010/232 627 ou monopolywavre@wavre.be)
François Namur - Images : Philippe Michaux