Le Roi Philippe et la Reine Mathilde étaient en visite en Brabant wallon, aujourd'hui, et plus précisément dans l'est de la province. Première étape de leur journée : la société Odoo, implantée dans plusieurs fermes à Ramillies.
Odoo, une success story
Les souverains sont arrivés à 10 heures précises à Grand-Rosière, commune de Ramillies, dans la deuxième ferme occupée par la société Odoo et fraîchement rénovée. Odoo, c’est cette entreprise active dans les logiciels de gestion open source utilisés par 4 millions d’utilisateurs dans le monde et qui présente une incroyable croissance. Fabien Pinckaers, son CEO et fondateur, a pu expliquer cette success story au couple royal. "J'étais très impressionné par l'intérêt du Roi pour l'open source et l'impact pour Odoo. Ensuite, ils ont surtout été intéressés par les gens, ils ont parlé avec beaucoup de monde, même plus que prévu !"
Après avoir testé les solutions d’Odoo en créant un site internet de vente de chocolat, les souverains se sont, en effet, rendus dans l’un des open spaces de la société, à la rencontre de l’équipe support. Là, ils se sont entretenus de façon très décontractée avec plusieurs employés.
Une première pour le nouveau bourgmestre de Ramillies
Le gouverneur Gilles Mahieu accompagnait le couple royal durant son périple dans l’est brabançon. Et durant cette étape à Ramillies, le nouveau bourgmestre des lieux était évidemment présent. Une première pour Jean-Jacques Mathy, qui avait même du demander une écharpe maïorale à prêter.
La croissance d'Odoo se poursuit
La visite du couple royal s’est terminée par une photo avec plusieurs dizaines de membres d’Odoo. Tous n’étaient évidemment pas présents. L’entreprise compte plus de 550 collaborateurs à travers le monde, mais recrute quasiment une personne par jour ouvrable depuis le début de l’année. Et sa croissance n’est pas prête de s’arrêter : une troisième ferme sera occupée en Brabant wallon à partir du printemps prochain, un bureau vient d’ouvrir à Dubaï et un autre pourrait ensuite être créé en Afrique.
François Namur - Images : Adrien Broze