30 ans de carrière dans une usine sidérurgique et puis plus rien, presque du jour au lendemain, à la fermeture brutale de la structure. C’est ce qu’a vécu en 2012 chez NLMK La Louvière le père du réalisateur Maxime Coton. Quelques années plus tard, celui-ci a décidé d’en faire un film, pas un documentaire mais un plutôt un docu-fiction.
Tubize aussi
Le film sera projeté en avant-première brabançonne le 14 octobre au Centre culturel de Tubize. Une commune où la culture ouvrière est également très présente. Maxime Coton y avait déjà présenté son long métrage précédent. Le film touchera sans doute en plein coeur bien des Tubiziens. Dans Après l’usine, la musique tient une place très importante, comme pourront le constater les spectateurs tubiziens, puisqu'un orchestre de plusieurs dizaines de musiciens sera présent et jouera en direct pendant la projection. Après l’usine a été coproduit par la RTBF. Le film sera diffusé sur antenne l’an prochain.
François Namur - Images : Philippe Michaux